samedi 5 octobre 2013

QUEL EST LE DRAPEAU LE PLUS MOCHE DU MONDE?

....CELUI DES KUNA DU PANAMA

ÇA RESSEMBLE AU DRAPEAU DU PAYS DE RAJOY ET AU SYMBOLE IDÉOLOGIQUE DU PP.

VOICI LA CRÉATURE...L'ÉMIR D'ESPAGNE. 


L'origine des langues

http://www.axl.cefan.ulaval.ca/monde/origine-langues.htm


L'origine des langues

1 Monogénèse et polygénèse

La question de l'origine des langues a toujours suscité de nombreuses hypothèses et mis a contribution les travaux tant des anthropologues, que des archéologues, des généticiens, des linguistes, etc. En 1865, la Société de linguistique de Paris avait informé ses membres dans ses règlements qu'elle ne recevrait «aucune communication concernant [...] l'origine du langage». Mais la question a continué néanmoins à hanter les linguistes et la recherche d'une langue mère unique s'est poursuivie, si tant est qu'une telle langue ait existé. Dans L'Homme de paroles (Fayard, 1996), le linguiste français Claude Hagège réfute le mythe d'une langue commune unique :
Contrairement à l'idée courante, il est très probable que l'immense diversité des idiomes aujourd'hui attestés ne se ramène pas à une langue originelle unique pour toute l'humanité. S'il y a unicité, c'est celle de la faculté de langage propre aux hominiens et non celle de la langue elle-même. À l'origine, donc, une seule espèce (monogénétisme de la lignée), mais non un seul idiome (polygénisme des langues).
Néanmoins, l'idée d'une langue mère relève d'un fantasme ancien. Dès le Moyen Âge, on croyait à l'existence d'une langue originelle de l'humanité, jusqu'à ce que la colère de Dieu intervienne après l'épisode de la tour de Babel. Pendant longtemps, on a cru que l'hébreu était la langue d'Adam et d'Ève, d'autres ont pensé au latin ou au grec. Pour leur part, les musulmans ont toujours cru que la première langue de l'humanité était l'arabe. À partir du XIXe siècle, certains linguistes ont persisté dans ce type de recherche; ils ont été suivis par des spécialistes de la génétique des populations. L'un des livres les plus connus sur le celui fut celui de l'Américain Merritt Ruhlen (né en 1944) dans L'origine des langues (1994, mais 1997 en français). Ses travaux proposant une origine commune (la monogenèse) ont alimenté une controverse vieille de plusieurs siècles. Pour établir des ressemblances entre toutes les langues du monde, la méthode de Ruhlen consiste à procéder à des comparaisons entre des lexiques de référence (en l'occurrence: 27 formes orthographiques associées aux formes phonétiques) pour un grand nombre de langues choisies parmi des familles communément acceptées. Il s'agit du système de «comparaison multilatérale» proposée auparavant par le linguiste américain Joseph Greenberg (1915-2001).
Quoi qu'il en soit, Merritt Ruhlen a avancé la thèse d'une proto-langue mère originelle et commune à toutes les superfamilles, qui aurait vécu vers 50 000 ans avant notre ère. Selon lui, le premier mot prononcé par l'homme serait la monosyllabe tik («doigt») ou aq'wa («eau»), appartenant à 32 familles de langues et proto-langues reconnues par la majorité des linguistes. Cela étant dit, les critiques portant sur la méthodologie de Ruhlen sont innombrables.  Non seulement on peut se demander si les ressemblances relevées par Ruhlen sont dues ou non au hasard, mais on met en doute la capacité des sons humains à se maintenir sur des dizaines de milliers d'années. Malgré tout, nombreux sont ceux qui reconnaissent au moins à Merritt Ruhlen le mérite d'avoir raison sur le fond: toutes les langues pourraient avoir une source unique, sauf que nous n'en savons strictement rien. L'origine des langues reste toujours une énigme pour la science.
Cependant, si le moment de l'émergence du langage demeure encore une énigme pour la science et divise les linguistes, il est généralement admis que l'aptitude au langage se soit inscrite il y a environ 2,2 millions d'années dans le code génétique de l'Homo habilis, dont la capacité à fabriquer des outils témoigne déjà d'une grande complexité de l'organisation neurologique. On croit que cette aptitude n'aurait été utilisée que bien plus tard par l'Homo erectus, sinon par l'Homo sapiens sapiens, selon les plus prudents. Les langues, dans leur sens moderne, ne seraient apparues qu'entre 80 000 à 60 000 avant notre ère, en Afrique de l'Est ou au Proche-Orient, alors que nos ancêtres, les Homo sapiens sapiens, n'étaient plus que quelques milliers d'individus. À supposer qu'ils aient pu parler, on peut se demander s'ils parlaient une langue commune — théorie de la monogénèse — auquel cas les quelque 6000 langues actuelles descendraient de cette langue parlée il y a 60 000 à 80 000 ans. On peut aussi imaginer que des langues existaient bien avant cette date et que les langues ne se soient développées qu'après la dispersion des différents groupes d'Homo sapiens (théorie de la polygénèse). Dans l'état actuel des choses, les outils de la science et de la linguistique comparée ne nous permettent pas d'en savoir davantage.

2 Les méthodes classificatoires des langues

Il existe deux grands principes classificatoires des langues. Le premier s'intéresse aux classements typologiques; le second auxclassements génétiques. La classification typologique des langues a pour but leur description et leur regroupement en fonction de certaines caractéristiques communes de leurs structures, sans rechercher nécessairement l'établissement de généalogies ou de familles de langues. La classification génétique s'intéresse plutôt aux familles de langues, c'est-à-dire à un ensemble de langues effectivement parentes, qui descendent d'une langue présumée commune ou originelle.
2.1 La méthode typologique
Dans les classements typologiques, les langues peuvent être caractérisées selon divers traits linguistiques. Par exemple, on peut classer les langues en fonction de critères phonétiques ou phonologiques, morphologiques ou syntaxiques.
- Les critères phonétiques ou phonologiques
C'est ainsi que l'on pourra distinguer les langues en fonction de leur système vocalique: les langues à trois voyelles ([i], [u], [a]), les langues à double articulation antérieure (voyelles non arrondies et arrondies), les langues à double articulation postérieures (voyelles non arrondies et arrondies), les langues à double durée vocalique, etc.
Du côté des consonnes, certains linguistes ont tenté de classer les langues en fonction des modes d'articulation: les langues à consonnes occlusives limitées (une seule), à consonnes fricatives limitées (seulement le [t]), les langues à consonnes prénasalisées ou post-nasalisées, les langues à clics, les langues à deux modes articulatoires, etc. D'autres distinguent les langues «à tons» (comme le chinois, le vietnamien, le birman), les langues «à accent tonique fixe» (tchèque, finnois, hongrois), les langues à accent tonique «à valeur phonologique» (russe), etc. Comme on le constate, il est possible d'en arriver à de nombreux types de classements. Le problème, c'est d'obtenir l'accord des spécialistes sur la question.
- Les critères morphologiques
Parmi les systèmes de classement typologique, les critères d'ordre morphologique semblent les plus connus. On distingue ainsi trois types principaux de langues: les langues isolantes, les langues agglutinantes et les langues flexionnelles.
a) Langue isolante
Il est admis de considérer une langue comme isolante lorsque les mots sont ou tendent à être invariables. En fait, une langue est isolante lorsque chacun des morphèmes est identifié à des mots graphiques isolables. Cela signifie que les marques du genre et du nombre, par exemple, constituent des morphèmes distincts et séparés du lexème, parce que chacun des mots correspond à un radical unique. Les langues isolantes les plus connues sont le chinois, le cantonais, le vietnamien, le laotien et le cambodgien. Voici un exemple en chinois:
tachifanletachilefan
ilmangerepaspasséilmangepassérepas
= Il prit son repas.
b) Langue agglutinante
Dans une langue agglutinante, au contraire, on juxtapose au radical une série de morphèmes distincts servant à exprimer les rapports grammaticaux. Dans ce type de langue, chacun des affixes (préfixes, infixes ou suffixes) est clairement analysable et identifie précisément une fonction grammaticale ou syntaxique. En voici quelques exemples en turc, en quechua, en swahili et en créole haïtien.
En turcEn quechuaEn swahiliEn créole haïtien
ev = maison
evim = ma maison
evlerim = mes maisons
evimden = de ma maison
evlerimden = de mes maisons
wasi = (la) maison
wasikuna = (les) maisons
wasip = dans la maison
wasikunap = dans les maisons
wasiykikunap = dans tes maisons
penda = aimer
anapenda = il aime
atapenda = il aimera
amependa = il a aimé
atanipenda = il m'aimera
amakupenda = il t'a aimé
utanipenda = tu m'aimeras
li mangé = il mange (présentement)
li ape mangé = il mange (intemporel)
li te mangé = il a mangé
li tap mangé = il mangeait
li va mangé = il mangera
li tava mangé = il aurait mangé
li ta mangé = il mangerait
c) Langue flexionnelle
Enfin, dans une langue flexionnelle, les radicaux sont pourvus d'affixes grammaticaux variables et exprimant plus ou moins à la fois, par exemple, le genre, le nombre et le cas, ou la personne, le temps, le mode, la voix, etc. La plupart des langues européennes sont des langues considérées comme flexionnelles. Ainsi, en latin, la série bonus dominusboni dominibonos dominos oppose des morphèmes identifiant à la fois le nominatif (sujet) masculin singulier (bonus dominus), ou le génitif masculin singulier (boni domini), ou le nominatif masculin pluriel (boni domini), ou encore l'accusatif masculin pluriel (bonos dominos). Référons-nous encore une fois au système russequi oppose des terminaisons identifiant à la fois le cas, le genre masculin, féminin ou neutre, ainsi que le nombre.
MASCULIN: dom («maison») singulier - plurielFÉMININ: ulica («rue») singulier - plurielNEUTRE: tchuvstvo («sensation»)singulier - pluriel
Nominatif :    dom          domiGénitif :        doma        domovAccusatif :    dom          domiDatif :           domu        domamLocatif :        dome        domaxInstrumental : domom    domami
Nominatif :      ulica      ulicci-Génitif :          ulici-      ulic
Accusatif :      ulicu      ulicci-Datif :             ulice      ulicam 
Locatif :          ulice      ulicaxInstrumental :  ulicoy    ulic
ami
Nominatif :      tchuvstvo     tchuvstvaGénitif :          tchuvstva     tchuvstv
Accusatif :      tchuvstvo     tchuvstvaDatif :             tchuvstvu     tchuvstvam 
Locatif :          tchuvstve     tchuvstvaxInstrumental :  tchuvstvom  tchuvstv
ami
Il arrive parfois que la variante flexionnelle soit interne; on parle en ce cas d'infixe. On aura, par exemple, en anglais I drinkI drankI have drunk (je bois, je buvais, j'ai bu), et en allemand Ich sprecheIch sprachIch habe gesprochen (je parle, je parlais, j'ai parlé).
Ces distinctions ne sauraient être considérées comme absolues et il conviendrait de parler en termes de degré. Le français est parfois de type flexionnel (cheval/chevaux), parfois de type isolant (je suis/tu es), parfois de type agglutinant (épais/épaisse). Un syntagme commeporte-manteau est isolant, alors qu'une opposition du genre pomme/pommier est flexionnelle. De même pour les cas suivants:
Français
Espagnol
Portugais
Italien
pomme → pommier
manzana → manzano
maça → macieira
mela → melo
Type flexionnel
Anglais
Allemand
Néerlandais
Danois
apple → apple tree
Apfel → Apfelbaum
appel → appelboom
aeble → aebletrae
Type isolant
Il importe donc de définir pour chacune des langues le caractère dominant, car une langue peut être plutôt flexionnelle et présenter, par exemple, des traits isolants et agglutinants.
- Les critères syntaxiques
Un autre critère pour classer les langues du monde est de recourir à l'ordre des mots dans la phrase. Autrement dit, c'est le critère syntaxique qui sert alors à distinguer les langues. Pour ce faire, on compare l'ordre du sujet, du verbe et du complément dans la phrase. Ainsi, en français, l'ordre syntaxique le plus courant est l'ordre sujet + verbe  + complément (SVC). Voyons ce qu'il en est dans d'autres langues, notamment en turc, en gallois, en malais et en hixkaryana (langue amérindienne de l'Amazonie):
En français: [SVC] = Cet homme construit une maison.
Turc [SCV]Gallois [VSC]Malais  [VCS] Hixkaryana [CVS]
Hasan Ëküz-ü ald-i.
Lladdodd y ddraig y dyn.
Nahita ny mpianatra ny vehivavy.
Toto yahosiye kamara.
Hasan boeuf (acc.) a acheté
tua le dragon l'homme
regarda l'étudiant la femme
homme saisit jaguar
«Hasan a acheté le boeuf.»
«L'homme tua le dragon.»«L'étudiant regarda la femme.»«Le jaguar saisit l'homme.»
Ces systèmes de classification typologique présentent certainement un intérêt, mais ils ont tous comme défaut principal de ne pas être très rigoureux. Pour cette raison, beaucoup de linguistes préfèrent classer les langues par famille, c'est-à-dire la méthode génétique.
2.2 La méthode génétique
La méthode génétique provient d'une conception biologique de la langue qu'avait adoptée le linguiste et philologue allemand Franz Bopp (1791-1867) au XIXe siècle. Celui-ci s'était représenté les langues comme des êtres humains dont on pouvait suivre la naissance, la vie et la mort. Selon cette même conception, les langues avaient des «parents»; en ce sens, on parle de «langue mère», de «langues sœurs», de «langues cousines», etc. C'est dans cet esprit que le mot génétique a été appliqué à la linguistique. Aujourd'hui, ce mot est utilisé de plus en plus dans le sens de «historique»: lorsqu'on recherche des états de langue anciens, il est légitime de penser en termes d'affiliation et de parenté linguistiques.
- Liens de parenté linguistique
En analysant des milliers de langues parlées dans le monde, les linguistes ont pu établir certains liens de parenté plus ou moins étroits entre des parlers dont plusieurs peuvent représenter des évolutions différentes d'un même prototype (du grec protos: «premier», «primitif»). Généralement, on réserve l'expression «famille linguistique» à l'ensemble formé de toutes les langues de même origine (p. ex., la famille indo-européenne, la famille sémitique).
Ces familles comprennent des sous-ensembles appelés «sous-familles» ou «branches» (p. ex., la branche romane, la branche germanique, la branche slave, etc.). Ces branches sont elles-mêmes constituées de certaines langues plus étroitement apparentées entre elles qu'avec d'autres. Ainsi, les langues de la branche romane (français, espagnol, italien, espagnol, etc.) diffèrent de celles de la branche germanique (anglais, allemand, néerlandais, danois, etc.) et slave (russe, polonais, tchèque, slovène, etc.), mais elles appartiennent toutes à la même famille: la famille indo-européenne. Cette famille est ainsi appelée parce qu'elle regroupe un grand nombre de langues en usage depuis l'Inde (en passant par le Pakistan, l'Iran, l'Iraq, la Syrie et la Russie) jusqu'à l'Europe de l'Ouest (du Portugal à Moscou en passant par l'Islande et la Grèce.
On utilise aussi le terme de «groupe» (p. ex, les langues du groupe andino-équatorial de l'Amérique du Sud). Il s'applique indifféremment à un ensemble de familles, à une famille, à un ensemble de langues d'une branche. L'utilisation de ce terme sous-entend que le classement n'est pas encore fixé ou n'est pas fixé de façon certaine.
- Des hypothèses
Il ne faudrait pas croire que l'établissement de liens de parenté entre les langues repose toujours sur une langue originelle véritable. Dans certains cas, il s'agit d'hypothèses que l'on formule d'après des analyses comparatives et historiques, afin de constituer des ensembles de langues. Les linguistes ont reconstitué des langues originelles, des protolangues, qui n'ont jamais été attestées et qui, pour cette raison, demeurent des langues purement hypothétiques. C'est le cas de l'indo-européen, reconstruit par les linguistes, car, étant donné qu'aucun document écrit ne peut confirmer son authenticité, on ne peut supposer l'existence de cette langue.
Le seul fait dont on est sûr, c'est que, entre un certain nombre de langues diverses, entre un ensemble de traits communs remarquables, il existe une parenté indiscutable. On ignore comment était parlé l'indo-européen primitif, mais on connaît les langues qui en sont issues et ce qu'elles sont devenues en se différenciant de plus en plus avec le temps: le sanskrit en Inde, le vieux-perse en Iran et, en Europe, le grec, le latin, le celtique, le germanique, le slave, etc.
En général, la communauté scientifique a établi un consensus pour admettre l'existence d'environ 300 familles qui remonteraient au début de notre ère. Quant aux macro-familles (les superfamilles), estimées entre 10 et 20 selon les auteurs, elles suscitent la controverse. Le linguiste américain Merritt Ruhlen avait déjà proposé de réunir toutes les langues en seulement trois familles: l'eskimo-aléoute, le na-déné et l'amérinde, cette dernière regroupant en une superfamille les langues d'Amérique, l'indo-européen et les langues d'Asie sous le nom de eurasiatique.
En somme, lorsque les linguistes se penchent sur l’origine des langues et des mécanismes du langage, ils se heurtent d’emblée au mystère même de l’histoire de l’humanité, ainsi que de son évolution à travers les millénaires.

 Dernière mise à jour: 16 juillet, 2013

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PUB DE LA DS3


samedi 20 juillet 2013

générique ZORRO - 1960 -

Zorro

Un cavalier, qui surgit hors de la nuit
Court vers l'aventure au galop
Son nom, il le signe à la pointe de l'épée
D'un Z qui veut dire Zorro
Zorro, Zorro
Renard rusé qui fait sa loi
Zorro, Zorro
Vainqueur, tu l'es à chaque fois
Zorro, Zorro
Combat sans peur l'ennemi
Zorro, Zorro
Défend toujours son pays
Quand il paraît
Les bandits effrayés
Fuient tremblants le nom de Zorro
Mais les opprimés n'ont jamais redouté
Son signe, le signe de Zorro
Zorro, Zorro
Renard rusé qui fait sa loi
Zorro, Zorro
Vainqueur, tu l'es à chaque fois
Zorro, Zorro
Combat pour la liberté
Zorro, Zorro
Défend toujours l'amitié
Ceux qui ont faim
Au pays mexicain
Prient pour le retour de Zorro
S'il vient un jour
Ils suivront les vautours
Au signe, le signe de Zorro
Zorro, Zorro
Renard rusé qui fait sa loi
Zorro, Zorro
Vainqueur, tu l'es à chaque fois
Zorro, Zorro
Accourt sur son cheval noir
Zorro, Zorro
Partout va porter l'espoir
zic zic zic {le "bruit du Z" :-) }
Zorro ! Zorro ! Zorro ! Zorro ! ...


Etienne Daho - Epaule Tatoo


Dj Assad Ft Alain Ramanisum & Willy William - Li Tourner 2013


Dans tous fiesta li casse dans tas
Si li na pas la
Na pena nissa
Sirtout kan line fini bam bam
Sa so life content tamtam
Mette la faya sans tracas
Sans tralala, na pena bla bla
Pou dibouter
Li pou danser
Dans tous cotes li pou tourner

[Refrain]
Il met son corps devant
Il met son corps derrière
Li tourner, li tourner
Il met son corps devant
Il met son corps derrière
Li tourner, li tourner
(x2)

Leve so la main la haut (wo la la laaa)
Il met ses mains la haut (wo la la laaa)
Li leve so la main la haut (wo la la laaa)
Il met ses mains la haut (wo la la laaa)

Parfois dans mariaz
Sans l'etalaz
Li pas inviter
Li pou rentrer
Li pou manzer boire
Causer, rier
Couma dire propre fami la mariée
So nom Rozo, li ene grand cervo
Dans so cafe na pena triaz
Kot li passer
Li pou tracer
Meme casse cassé la li pou danser

[Refrain]

Leve so la main la haut (wo la la laaa)
Il met ses mains la haut (wo la la laaa)
Li leve so la main la haut (wo la la laaa)
Il met ses mains la haut (wo la la laaa)

Bam bam dou dou dou bam bam
Apres li faire so tamtam
Tamtam kan fini bambam
Apres li faire so tamtam

Mais Bam bam bou dou dou bam bam
Après li faire so tamtam
Tamtam kan fini bambam
Après li faire so tamtam

[Refrain]

Leve so la main la haut (wo la la laaa)
Il met ses mains la haut (wo la la laaa)
Li leve so la main la haut (wo la la laaa)
Il met ses mains la haut (wo la la laaa)

Paroles trouvées ici : http://www.parolesdeclip.fr/li-tourner-dj-assad-et-alain-ramanisum-et-willy-william.html

lundi 8 juillet 2013

Tropical Family - Maldon


Hum, ka sa yé misyé Bobo
Fo pa’w konprann Bibi sé on kouyon
Si tout lè mwen o founo
Fo’w antann vou on jou ké ni maldon
Nétwayé, baléyé, astiké
Kaz la toujou penpan
Ba’w manjé, baw lanmou
E pou vou an ka fèy an chantan
Ka sa yé misyé Bobo
Pa mandé bibi rété kon madon
Menm si on fè on ti solo
Ou sav ké sé toujou vou ka kontrol
Byen dé fwa, an té vlé, enprovizé
E fè on ti boujé
An kaz la, ka rété
Ka santi mwen kon si an prizonyé
Ha…pa mélé mwen kon sa ké ni maldon
Han, han, paf è mwenyi, pa fè mwen’y woho
Si’w vlé ké pou nou dé sa kontinué
Ban fil pou mwen pé boujé
Ka sa yé misyé Bobo
Hum, Bibi enmé mizik ki chébran
Lazé, K7 vidéo
Ka méné mwen lwen pou on ti moman
Nétwayé, baléyé, astiké
Kaz la toujou penpan
Ba’w manjé, baw lanmou
E pou vou an ka fèy an chantan
Ha.. pa mélé mwen kon sa ké ni maldon
Han, han, paf è mwenyi, pa fè mwen’y woho
Si’w vlé ké pou nou dé sa kontinué
Ban fil pou mwen pé boujé
Ya ya yéy yé…
« la musique dans la peau »

LES MEILLEURS CLIPS DU MOMENT


http://www.topclip.fr/

Papaoutai - Stromae


[COUPLET 1]
Dites-moi d'où il vient
Enfin je serais où je vais
Maman dis que lorsqu'on cherche bien
On finit toujours par trouver

Elle dit qu'il n'est jamais très loin
Qu'il part très souvent travailler
Maman dit travailler c'est bien
Bien mieux qu'être mal accompagné
Pas vrai?

Où est ton papa?
Dis moi où est ton papa!
Sans même devoir lui parler,
Il sait ce qu'il ne va pas.
Hein sacré papa!
Dis moi où es-tu caché!
Ça doit...
Faire au moins mille fois que j'ai
Compté mes doigts
Hé!

[REFRAIN]
Où t'es? Papaoutai?
Où t'es? Papaoutai?
Où t'es? Papaoutai?
Outai outai où papaoutai?

Où t'es? Papaoutai?
Où t'es? Papaoutai?
Où t'es? Papaoutai?
Outai outai où papaoutai?

[COUPLET 2]
Quoi, qu'on y croit ou pas
Y aura bien un jour où on y croira plus
Un jour où l'autre on sera tous papa
Et d'un jour à l'autre on aura disparu

Serons-nous détestable?
Serons-nous admirable?
Des géniteurs ou des génies?
Dites nous qui donnait
Sans soucis responsable!

Ah dites nous qui diar
Tout le monde sait
Comment on fait des bébés
Mais personne sait
Comment on fait des papas
Monsieur j'sais tout
On aurait hérité, c'est ça.

Trop d'sucer d'son pouce ou quoi?
Dites nous où s'est caché,
Ça doit...
Faire au moins mille fois qu'on a
bouffé nos doigts
Hé!

[REFRAIN]
Où t'es? Papaoutai?
Où t'es? Papaoutai?
Où t'es? Papaoutai?
Outai outai où papaoutai?

Où t'es? Papaoutai?
Où t'es? Papaoutai?
Où t'es? Papaoutai?
Outai outai où papaoutai?

Où est ton papa?
Dis moi où est ton papa!
Sans même devoir lui parler,
Il sait ce qu'il ne va pas.
Hein sacré papa!
Dis moi où es-tu caché!
Ça doit...
Faire au moins mille fois que j'ai
Compté mes doigts
Hé!

Où est ton papa?
Dis moi où est ton papa!
Sans même devoir lui parler,
Il sait ce qu'il ne va pas.
Hein sacré papa!
Dis moi où es-tu caché!
Ça doit...
Faire au moins mille fois que j'ai
Compté mes doigts
Hé!

[REFRAIN]
Où t'es? Papaoutai?
Où t'es? Papaoutai?
Où t'es? Papaoutai?
Outai outai où papaoutai?

Où t'es? Papaoutai?
Où t'es? Papaoutai?
Où t'es? Papaoutai?
Outai outai où papaoutai?

(Merci à Dass pour cettes paroles)

M�s letras: http://www.letrasmania.com/letras/letras_de_canciones_stromae_54567_letras_formidable_199717_letras_papaoutai_1760184.html
Todo sobre Stromae: http://www.musictory.es/musica/Stromae